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En 1951, Pierre bernardin crée le Crasy Horse dans un sous-sol d'immeuble bourgeois de l'Avenue George V, en s'inspirant du streape tease à l'américaine. Avant-gardiste et insatiable admirateur des femmes, dès les premières années, Mr Bernardin place la femme au centre du cabaret qui devient ainsi le temple du bas Nylon, du porte-jarretelle et de la cambrure fatale.
De 1960 à 1989, le cabaret prend une nouvelle direction, Roman, nouvelle Vague, Pop Art, désormais chaque numéro fera objet d'une chorégraphie, se déroulant dans un décor avec des lumières spécifiques. Le crazy horse se teinte alors d'influences musicales et vestimentaires du moment et évolue avec les tendances des différentes époques. La scène du Crazy Horse voit disparaitre les fameux bas nylon, et connaît alors son apogée car Alain Bernardin a su transcender le striptease et le hisser au niveau d’un Art du Nu, en sublimant la femme pour en faire l’archétype de la séduction à la française et en la transformant en fantasme planétaire pour des millions d’hommes.
Pierre Bernardin disparu, ce sont ces enfants qui reprennent le flambeau. Et en 2005, pour briller à nouveau de tous ses feux dans la nuit parisienne, le Crazy Horse se refait une beauté avec l’arrivée d’Andrée Deissenberg à la direction générale. Forte de 12 ans d’expérience professionnelle passés au sein du prestigieux Cirque du Soleil, elle revisite les grands classiques de ce temple du nu artistique et renoue avec l’inspiration de son créateur Alain Bernadin.
Et c'est Mr Yves Riquet qui présente à Madame Andrée Deissemberg la ravissante Dita Von Teese. Cette rencontre est déterminante pour le retour du bas Nylon sur la scène du Crazy, Dita Von Theese engagée, la mission de Mr Riquet était accomplie: les bas coutures, qu'il avait tant admirés sur les jambes de toutes les danseuses entre 1951 et 1965 étaient revenus, même à titre fugace.
Source : http://www.the-frenchtouch.com/ Mr Yves Riquet : http://showroomcervinparis.com/
De 1960 à 1989, le cabaret prend une nouvelle direction, Roman, nouvelle Vague, Pop Art, désormais chaque numéro fera objet d'une chorégraphie, se déroulant dans un décor avec des lumières spécifiques. Le crazy horse se teinte alors d'influences musicales et vestimentaires du moment et évolue avec les tendances des différentes époques. La scène du Crazy Horse voit disparaitre les fameux bas nylon, et connaît alors son apogée car Alain Bernardin a su transcender le striptease et le hisser au niveau d’un Art du Nu, en sublimant la femme pour en faire l’archétype de la séduction à la française et en la transformant en fantasme planétaire pour des millions d’hommes.
Pierre Bernardin disparu, ce sont ces enfants qui reprennent le flambeau. Et en 2005, pour briller à nouveau de tous ses feux dans la nuit parisienne, le Crazy Horse se refait une beauté avec l’arrivée d’Andrée Deissenberg à la direction générale. Forte de 12 ans d’expérience professionnelle passés au sein du prestigieux Cirque du Soleil, elle revisite les grands classiques de ce temple du nu artistique et renoue avec l’inspiration de son créateur Alain Bernadin.
Et c'est Mr Yves Riquet qui présente à Madame Andrée Deissemberg la ravissante Dita Von Teese. Cette rencontre est déterminante pour le retour du bas Nylon sur la scène du Crazy, Dita Von Theese engagée, la mission de Mr Riquet était accomplie: les bas coutures, qu'il avait tant admirés sur les jambes de toutes les danseuses entre 1951 et 1965 étaient revenus, même à titre fugace.
Source : http://www.the-frenchtouch.com/ Mr Yves Riquet : http://showroomcervinparis.com/
Par Sandrine Raimbaut
